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Kofi Yamgnane  : ses mémoires d’outre-haine, son musée des horreurs, ses démons...


Rédigé le Vendredi 17 Mai 2024 à 12:24 | Lu 4 commentaire(s)


On se souvient, mais on n’y est pas obligé, de Kofi Yamgnane, premier maire noir en Bretagne. Le voici, qui par ses « Mémoires », dites « Mémoires d’outre-haine » se rappelle à notre bon souvenir.


in War Raok ! - n° 61 - Août 2021

Kofi Yamgnane  : ses mémoires d’outre-haine, son musée des horreurs, ses démons...

En 1989, à la surprise générale, les Bretons élisent sur une liste socialiste un maire Togolais, à Saint-Coulitz, petit bourg rural près de Châteaulin (29). Il y restera jusqu’en 2001. Il deviendra secrétaire d’État de François Mitterrand aux affaires sociales et à l’intégration de 1991 à 1993, conseiller général du Finistère, de 1994 à 2008, député de 1997 à 2002. Ces cumuls de fonctions doivent beaucoup à ses compétences, mais pas seulement, c’est que le personnage est aussi une figure emblématique de la gauche et de toutes les mouvances ayant pour fonds de commerce le prétendument antiracisme. En outre, il est très convivial, il sait attirer la sympathie, et a son franc parler. De plus, et ce n’est pas un détail, il a l’intelligence d’essayer de comprendre l’identité  bretonne, ses traditions, sa langue. En cela il se démarque nettement de tous les autres partis qui, de droite comme de gauche, portent bien haut leur jacobinisme viscéral. Cet intérêt lui permet de gagner des points, d’être populaire, ce que ne comprennent pas les autres formations politiques. Autre atout, Kofi Yamgnane est un personnage « haut en couleurs », dans tous les sens du terme, bon vivant, aimant faire de l’esprit accompagné d’un grand éclat de rire. C’est ainsi qu’il se définira comme un « Breton d’après la marée noire », blague que lui seul pouvait à son encontre se permettre. Si il est curieux de  la culture bretonne et invite les Bretons à mieux s’y intéresser, mais n’exagérons rien, il sait parfaitement qu’en tant que noir, même intégré, marié à une bretonne, il n’en sera jamais pour autant un vrai Breton. Fier de ses origines, et il a raison, il sait aussi qu’elles sont un handicap. Il en a si conscience qu’il citera souvent ce dicton de son pays d’origine : « Ce n’est pas parce que l’on jette un bâton dans le marigot que le bâton devient crocodile ». De par ses fonctions, surtout celles à l’intégration, il avait tout loisir de méditer ce sage proverbe qui le concernait, et en bonne interprétation cela donnait : « Ce n’est pas parce qu’un africain habitera la Bretagne, fut-il maire, député, conseiller, marié à une bretonne qu’il sera devenu un Breton ». Un constat qui vaut pour tous les pays où, sans craindre le ridicule, la « diversité » devient allemande, suédoise, anglaise, française, bretonne (voir les équipes de foot), gommant ainsi les différences ordonnées par la nature qui caractérisent les peuples. Kofi Yamgnane n’était pas dupe de cette idéologie qui niait les réalités.

Sa nomination comme maire noir d’un petit bourg breton lui vaudra de recevoir bien des insultes stupides, indignes, méchantes aux échos fort racistes. Mais il recevra aussi, et bien davantage, des encouragements, des soutiens de tous horizons. Par ses qualités, il saura désarmer ses insulteurs. D’ailleurs, il fera remarquer « Je n’ai fait que prendre une place que les Bretons ne prenaient pas », ce qui n’était pas faux. Mais était-ce pour autant une raison pour, à l’époque, monter en épingle les insultes qu’il recevait ?  En privé, des proches de Kofi Yamgnane, et moi-même j’en ai connu un, confierons que beaucoup de ces insultes étaient bidons, et étaient l’œuvre de militants socialistes et autres qui avaient tout avantage à grossir ce dossier raciste, trop maigre à leur goût. La majorité des Bretons avaient comprit que rien ne justifiait de s’attaquer à ce maire fort compétent, apprécié de ses administrés, tout au plus regretter ses choix politiques, idéologiques, et qu’il ait consenti, volontairement ou non, à être l’icône instrumentalisée dans des combats antiracistes plus que douteux. Personnellement, les seules « injures » que j’ai entendu dans cette région que je connais très bien étaient « Un Kofi, ça va, trois Kofi, bonjour les dégâts ! », ou encore au comptoir du bistrot : « Sers moi un  Irish-Kofi bien frappé ! … », des plaisanteries dites avec des grands éclats de rire, et on passait à autre chose, donc rien de méchant, de raciste, sauf pour les malades pisse-froids gauchistes qui voient d’affreux fachos racistes partout. 


Mais un Kofi pouvait en cacher un autre  !

 

Voici donc notre « ex maire breton d’après la marée noire » qui se rappelle à notre bon souvenir. Retourné dans son pays pour solliciter les suffrages de ses compatriotes pour devenir leur président, il échoua dans ce destin, et il en ressenti une humiliation. Après avoir présenté sa candidature aux élections présidentielles togolaises de 2005 et 2010 celle-ci est rejetée par la cour constitutionnelle, la plus haute juridiction togolaise en raison d'un « doute sur son identité ». Décidément, les Français, les Bretons avaient donc été les seuls à lui reconnaître un destin d’homme politique dans la lignée d’un Obama. En 2014, quelques ennuis judiciaires. Notre brave Kofi est mis en examen pour trafic d’influence et tentative de corruption. Il est soupçonné d'avoir intercédé auprès des plus hautes instances françaises, (le ministre de l’intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve), en faveur de la régularisation de deux Marocaines et aurait ainsi perçu de l’argent. Kofi Yamgnane se défendra de toute tentative de corruption. « Bien sûr, j'ai aidé des centaines d'immigrés, au cours de ma carrière politique, à obtenir des papiers. Mais jamais je n'ai accordé mon aide contre une quelconque contrepartie !», ajoutait-il.  

Les combats antiracistes, transformés en racisme anti-blancs, anti-Européens sont à la mode, Kofi Yamgnane en mal de reconnaissance, estimant devoir sortir de l’oubli, s’est cru obligé (ou poussé par ses amis socialistes ?) d’entrer dans cette danse de scalp de l’homme blanc. Il nous commet donc un livre sur la question, et nous offre une compilation du « racisme qu’il a vécu », au point nous dit-il qu’il envisagea de renoncer à ses mandats. Son pensum intitulé modestement « Mémoires d’outre-haine » (titre inspiré, sans originalité, du Mémoire d’outre-tombe de Chateaubriand) nous promène dans ce qu’il appelle son « Musée des horreurs », sorte de Conservatoire de toutes les injures racistes, menaces de mort, dont dans des interviews il nous en donne quelques échantillons, que nous ne jugeons pas utile de reproduire (1). Il a beaucoup reçu de la Bretagne, des Bretons, de la France : « Je suis arrivé dans une région où cela va de soi élire un maire noir (sic), car les Bretons sont ancrés sur leur granit d’où ils n’ont peur de personne. Ils ont aussi une culture, une langue et ils voyagent beaucoup et souvent loin ». Kofi Yamgnane avait le choix d’un autre titre qui aurait été une reconnaissance de l’accueil qu’il reçu, mais faire référence à la haine (encore une mode), qui ne peut qu’être blanche, européenne est assurément plus vendeur, surtout quand les médias, les librairies des supermarchés, les Maisons de la presse sont là pour le réclamer à cor et à cris, en assurer la promotion.

Il nous confie : « J’espérais bien que mon élection changerait beaucoup de choses, et que les maires noirs se multiplieraient. Il n’y a hélas qu’un seul maire noir en France métropolitaine, Simon Worou à Saint-Juliette-sur-Viaur en Aveyron. J’ai naïvement cru qu’aux élections municipales de 1995 à Marseille, comme ailleurs, il y aurait un autre maire noir, arabe ou turc. J’ai donc échoué ». Il a échoué, nous dit-il, un aveu qu’il était bien un « homme-sandwich de l’antiracisme et du multiculturalisme », comme un vulgaire Obama. A la question d’un journaliste (2) : « Que faudrait-il faire pour lutter contre le racisme ? (sous-entendu blanc…) », il répond : « La lutte contre le racisme et l’ignorance passe par l’école. Il faut que celle-ci enseigne à toutes les générations à venir que l’humanité ne survivra que dans le métissage racial (sic), culturel, religieux, idéologique (resic). On n’arrivera jamais à rien si on ne se mélange pas, car on sera obligé de se mélanger. Il faut donc mettre le paquet sur cette lutte contre le racisme, l’ignorance. Il faut que les gens se cultivent. Regardez la Bretagne, c’est la région la plus cultivée de France… ». Autrement dit, continuons à formater, bourrer les cerveaux de nos enfants d’idéologie : culpabilisation, repentance, honte de leur culture, de leur histoire, de leur pays, honte d’être blanc.

Que Kofi Yamgname se rassure : contrairement à ce qu’il dit, il n’a pas échoué, il a même très bien rempli en son temps son rôle de faire-valoir de l’antiracisme et de la promotion de l’homme noir, du métissage tous azimuts. Jamais l’homme noir, mais aussi l’arabe, le musulman, n’ont été aussi promus, que ce soit en politique, dans la culture, le showbiz, le cinéma, la publicité (regardez donc la télé, monsieur Yamgname, vous serez édifié de l’omniprésence de l’homme noir, du métissé), c’est le blanc qui serait en droit de crier au racisme. Et, si l’on regarde du côté de l’Église, le bon recteur breton aura bientôt disparu, remplacé par une multitude de prêtres africains, ce qui en dit long sur la situation du clergé breton et le devenir de l’âme religieuse bretonne, du moins ce qu’il en reste encore. D’ailleurs une majorité de ces prêtres sont … Togolais, comme vous, alors à défaut de maires noirs, nous avons des prêtres noirs, cela devrait vous réjouir. Et puis, y a-t-il au Togo des maires blancs ?  Le « paquet» comme vous dites, il a été mis depuis longtemps, par la discrimination positive pour faire émerger une « élite de la diversité », au détriment d’une élite d’authentiques nationaux : un grand merci aux Attali, Soros, Merkel, Sarkozy, Macron et consorts,  parrains de toutes ces « chances ».  Kofi peut encore se rassurer en songeant aux multiples ONG, associations d’aides aux migrants, comme par exemple Utopia 56 (3), fondée par un Lorientais, Emmaüs, le « paysan » Cédric Herrou grand passeur de migrants, un certain clergé, le pape François qui font dans la collaboration subversive : l’immigration, le métissage ont de beaux jours devant eux. Quant à savoir si les gens se cultivent, on sera sur ce point très réservé, car si « culture » il y a, elle relève surtout d’une sous-culture, d’une contre-culture idéologisée, de la promotion des cultures de rues, de télé (façon Hanouna), extra-européennes et de la laideur à tous les niveaux. Quant à votre aimable appréciation sur « la Bretagne région la plus cultivée de France », si elle est cultivée, ce n’est hélas plus depuis longtemps dans la culture bretonne, mais dans une culture, même plus française, mais comme partout métissée, mondialisée. Désolé, mais les « chances », par leurs musiques (rap entre autres) leurs gestuelles vulgaires tenant du rut sont de véritables repoussoirs.  La culture bretonne n’est plus chez elle qu’une option. Kofi Yamgname appelle donc de ses vœux « le grand métissage » qui est frère du « grand remplacement », manque de logique, car la Bretagne, la France, qu’il dit aimer ne survivront pas à ces subversions par les hommes venus en masse d’Afrique et d’ailleurs. Trouve-t-il normal que les enfants d’Europe (des dizaines de millions) que l’on empêche par assassinat de naître depuis un demi-siècle, soient remplacés par des Africains, des Arabes, des Asiatiques ? Nous, non ! Souffrez que nous préférions les enfants de nos peuples d’Europe qui nous ressemblent, plutôt que ceux des peuples d’Afrique et d’ailleurs.

Monsieur Yamgname, vous participez avec vos « Mémoires », vos états d’âme victimaires à ce génocide de l’homme blanc, de l’Européen, de sa culture, de ses traditions, de ses paysages. Vous rejoignez ainsi une Assa Traoré et ses délires, toutes les haineuses, tous les haineux sortis de la diversité, alors que vous disiez aimer les pays qui vous avaient accueilli et reconnu vos compétences. Au lieu de vous démarquer de cette chienlit raciste, vous lui prenez la main, il vous sied donc mal de dénoncer le prétendu racisme blanc. Croyez-vous que la Bretagne serait encore la Bretagne si des millions de vos compatriotes venaient remplacer le Breton de souche ? Croyez-vous que votre Togo serait encore le Togo si des Chinois, des Arabes, des Turcs et même des blonds, des blondes aux yeux d’azur, venaient en masse s’y installer et y imposer leurs cultures ? Assurément non ! Et vous auriez raison de vous inquiéter sur l’avenir de votre peuple. Alors souffrez encore que nous nous inquiétions pour l’avenir de nos peuples, de l’Europe, de notre civilisation.  Si donc  « le bâton jeté dans le marigot ne peut devenir un crocodile », comment des masses extra-européennes jetées sur notre continent, nos pays, pourraient devenir des Français, des Allemands, des Suédois, des Italiens, ou des… Bretons ? Votre dicton togolais, si sage, nous donne la réponse, dommage que vous l’ayez oublié. A vrai dire, ne pensez-vous pas que le titre de votre livre aurait été plus approprié pour parler de l’authentique haine qui habite en permanence toute cette diversité, dont une grande majorité appartient à l’Afrique, et qui empoisonne la vie des gens du pays, qui souille leurs villes, les rendent invivables et défigure leurs paysages ancestraux, entendent nous imposer leurs mœurs et leurs croyance  barbares ?  Pour le coup, ce sont nos villes qui sont devenues de véritables « musées des horreurs », et celles-ci ont pour noms : drogues, crimes, viols, vols, vandalismes, insécurité, crasses. Et que dire des silhouettes de toute cette faune encapuchonnée, de ces momies ambulantes qui rendent si lugubres tous les lieux où elles posent leurs pieds, accentuant l’impression que nous ne sommes plus dans notre pays mais en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient ou en Turquie, ou de vivre en permanence des cauchemars.


Regardez monsieur Yamgnane ce que le métissage, le multiculturalisme font de Quimper la bretonne  !

 

Saint-Coulitz n’est pas loin de Quimper, eh bien savez-vous ce qu’est devenu en moins de dix ans Quimper, la capitale de la Cornouaille que l’on croyait si bretonne, grâce à l’immigration, au multiculturalisme, à la diversité dont la majorité est originaire du continent africain : une ville avec ses quartiers sensibles, aussi pouilleux que des villes du tiers-monde : (Penhars, Kermaria-Kermoysan) qui n’ont plus rien de breton. Un Quimper qui se « turquifie » grâce à son insolente et ostentatoire mosquée turc, à deux pas de la cathédrale.  Nous pourrions aussi parler de Brest, Nantes, Rennes, Lorient, Saint Nazaire… de toutes les villes bretonnes, jusqu’aux plus petits bourgs de la Bretagne profonde. Nous pourrions vous citer bien des faits d’actualités « bretonnes » qui sont les clones des actualités des banlieues de France. A Quimper toujours, la proposition de Karim Ghachem, conseiller municipal, régional et gay qui a réussi à faire reconnaître Quimper « zone de liberté pour les LGBTQIA + », histoire de promouvoir « un acte de liberté important ». Voilà donc la ville de Saint Corentin, du roi Gradlon promue en étendard des déviances contre-nature. Suivront Brest, Vannes et bien d’autres villes  pour être dans le vent. « Nous sommes là pour pourrir votre race (peuple) » éructait à son procès en 1986 le terroriste Fouad Ali Saleh. C’est aussi « çà » la diversité monsieur Yamgname, votre livre apporte donc sa contribution à ces sales combats contre l’homme blanc, l’Européen, alors souffrez que nous en ayons assez des crachats de la diversité, et que nous la rejetions. La diversité, le métissage, le multiculturalisme que vous appelez de vos vœux sont les armes qui pourrissent nos peuples, notre civilisation, notre jeunesse. La robe de la blanche hermine bretonne n’a de cesse d’être souillée, mais peut-être que son tort est justement d’être blanche, surtout en hiver, et c’est en tant que blanche qu’on la connaît, une couleur aujourd’hui dangereuse à porter. Les couleurs de la Bretagne sont le noir et le blanc, (Gwenn ha Du), ce n’est pas une raison pour que le noir vienne remplacer le blanc…

 

Erwan Houardon


Sources :

  1. 2) Télégramme du 27 mars 2021.
  2. Ouest-France, toujours  aux premiers rangs de la subversion, dans son édition du 7 avril dernier, consacre une pleine page enthousiaste à Utopia 56 et à son fondateur Yann Manzi, ancien bénévole du Festival des Vieilles Charrues de Carhaix. C’est intéressant, car cela prouve bien que ce Festival, comme bien d’autres, n’a rien de breton mais est dans une logique gauchiste de subversion. Un Festival qui consignait les gobelets en plastique au profit des migrants.



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